| | M-108 Sans Rang
| Messages : 4 Age du perso : 28
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| Sujet: Paie le mal avec la justice, et la bonté avec la bonté | M-108 Dim 10 Jan - 21:20 | |
| BLANSH-LANGGOU Vykup Bonjour, je m'appelle Vykup Blansh, mais on me surnomme aussi Viktor et Taii, M-108, Eight, Hachi et Hattô. J'ai actuellement 28 ans, car je suis né le 13 septembre 1995 à Jamuchi (Jiamusi) et je suis chinois. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas en train de m'interroger sur la xénopsychologie, je suis un ancien psychologue au service de la Corporation Yomotsu, aujourd'hui un "volontaire" pour des tests expérimentaux. Si vous voulez tout savoir je suis dans la mouise financièrement et vu que je n'ai aucun secret pour vous, vous pouvez aussi savoir que je suis bisexuel et célibataire. On me dit souvent que je ressemble à Hans Günsche de Hellsing Je suis dans le groupe des Kaijin (Rokurokubi).
comment peut-on me reconnaître ? Caractère Viktor était connu dans le passé pour être quelqu'un aux idées très ouvertes et d'un naturel curieux sur tout, des sujets les plus rationnels jusqu'à l'occulte et aux théories de conspiration fantaisistes, sans pour autant trouver une passion particulière. Le chinois était ainsi souvent décrit comme un "observateur", un personnage intraverti restant dans un coin à écouter, à essayer de comprendre le monde sous tous les angles possibles en proposant parfois son aide comme ces personnages de vieux sage dans les romans d'heroic-fantasy. Bien qu'auparavant bavard, les tests de la Corporation l'ont rendus beaucoup plus discret et sans qu'il soit asocial, l'homme aura tendance à développer des comportements louches comme suivre des personnes qu'il considérerait comme faibles, instables, dans un but assez primitif : la chasse, ces personnes n'étant pas les proies mais les appâts. Sa nature de Kaijin expliquait facilement ses écarts, ses sautes d'humeur, et celles qui se dégageaient particulièrement semblaient être héritées de son père, d'ailleurs lui-même transformé en Kaijin de type Gama, et vous l'aurez deviné : la colère s'établissait comme fardeau et point faible familial. Avec un autisme léger, le Viktor enfant s'enfermait dans sa bulle et se créait des histoires avant d'éclater violemment suite à des évènements extérieurs et en conséquence, le "M-108" adulte semblait vouloir se gérer lui-même en relativisant tout avec un pragmatisme effrayant (on peut ici reprendre l'exemple de la "chasse"). Trouvant des justifications à tout, l'aberration laissait paraitre une lassitude et un contrôle peu commun, mais bien souvent feint, jouant avec une modération presque humaine pour s'empêcher de digérer tous ses ennemis afin de garder le contrôle (le pragmatisme poussé jusqu'à une sorte d'auto-mutilation psychique vue les instincts puissants créés par les mutations). Ce fait le rendait particulièrement faible comparé à d'autres projets similaires mais il restait tout de même moins enclin à des éclats de colère, compensant le manque de puissance par un cerveau davantage fonctionnel, se voulant presque un penchant "complètement organique" aux héros modernes japonais, les Tokusatsu. Particulièrement perturbé par l'absorption d'un ancien chien battu, l'homme se retrouvait dans la situation suivante : une haine génétiquement implantée pour les Kaijin, une haine génétiquement rajoutée par le Raijû. Cela eut pour effet de niveler les sentiments du volontaire de la Corporation, le rendant plus neutre encore au niveau du faciès au point de créer quelques anomalies au niveau de sa source de pouvoir primordial, le Fuzen, énergie qu'il était reconnu posséder en masse depuis longtemps sous son versant positif, le Yoku, avant d'être transformé. Une nouvelle source de conflit interne entre une partie animale et un humain qui s'accroche et cumule les ennemis intérieurs, visiblement pas encore emporté par les expériences et les modifications qui se faisaient de plus en plus ressentir avec les altérations physiques typiques des Rokurokabi. Physique (décrit dans un petit paragraphe ses caractéristiques physiques, s'il a un tatouage, des bijoux dont il ne se sépare jamais, ce qui le différencie des autres) Quelque chose te différencie ? - Il était le grand frère de Mart Sanyuè dit "Mars", le possesseur d'une unité Kojiki qui lui arracha le bras et la jambe droite lors d'un "coma" et qui élimina le frère en question suite à la perte de contrôle du Persona de l'armure par la suite. M-108 était pressenti pour être le prochain propriétaire mais celui-ci détruisit le Magatama de l'armure. Il y a de fortes chances pour que cet incident soit aux origines de la méfiance du sujet envers les Tokusatsu. - M-108 produisait énormément de Yoku avant sa transformation, ceci était l'une des raisons supposées de sa stabilité en tant que Kaijin, et provoquait des problèmes avec les altérations de son organisme, les deux énergies ayant tendance à cohabiter de manière hostile. Cela se manifestait par des tâches sombres sur le corps du sujet et une tendance des organes à s'endommager seuls avant que ceux-ci ne se guérissent avec cette même force (toux ou autres symptômes de maladies diverses et variées, pertes temporaires de certains sens, saignements voire hémorragies internes ou externes inexpliquées etc...) - N'ayant absorbé que peu de Kaijin, le sujet se présentait comme un être faible comparé à ses pairs. L'une des seules métamorphoses notables venait d'un Raijû dont M-108 hérita d'un bras et d'une jambe, ainsi qu'une partie de la fourrure et des marques (cf. Physique), le membre supérieur récupéré servant par la suite de véhicule à son énergie sous forme électrique, lui permettant d'endommager des appareils électriques ou encore d'envoyer de la foudre dans un périmètre de quelques mètres (sans l'efficacité du Kaijin absorbé à l'origine) avant de devoir se recharger. La "batterie" du sujet étant visible avec sa luminescence au niveau des yeux, des "fissures" et parfois par certains orifices. A noter pour cette particularité la tendance défensive du pouvoir volé. Afin de récupérer plus rapidement de l'énergie, le sujet M-108 vampirisait des êtres vivants comme des sources artificielles d'énergie pour en prendre la puissance électrique, la première option étant rarement envisagée par le sujet du fait qu'un organisme vivant ne contenait que peu d'électricité (de l'ordre de 620V chez certains poissons électriques, l'équivalent d'une dizaine de piles "moyennes", donc assez peu pour les cas les plus intéressants). Tu veux connaître mon histoire ? - Spoiler:
Sover, The Red Bogeyman - Introduction - Un homme puissant auquel n'importe quoi sourit. Un athlète accompli, un universitaire parfait de ceux qui n"étudient jamais mais qui ingèrent la connaissance simplement", ce genre d'individu qui attire les regards et dont les multiples capacités empêchent les femmes de l'oublier : le milliardaire soviétique Sover, issu de la noble lignée des Blansh était pour ainsi dire parfait, il était d'ailleurs le premier à l'annoncer publiquement, à s'établir comme la "fin" de l'humanité dans le sens où rien ne pourrait aller plus loin. Un mégalomane? Cet homme en était le concept même mais à défaut d'avoir un jour tord, il plaçait les doutes de ses détracteurs au rang de superstitions exagérées et son statut s'établissait comme la simple réalité. Ceux qui s'opposaient avaient cette capacité étrange de disparaitre de la surface de la Terre et d'être oubliés, les ennemis du faux-communiste devenant à leurs tours superstitions stupides, improbables... Rien n'est parfait, me diriez-vous? Etrangement, vous auriez raison mais un seul défaut notoire encourageait l'homme d'affaire à se mettre sur un piédestal davantage : stérile ou trop imbu de sa personne, Sover n'était pas la fin des humains mais juste celle de sa famille, incapable de trouver femme à son goût et ayant peur que son patrimoine soit gâché par un métissage avec une mère porteuse indigne.La perfection n'existe pas, il s'agit d'un concept purement subjectif, mais lorsque nous possédons les moyens de forcer les autres à aller dans notre sens, cet avis devient autorité et cette autorité devient religion. Dans une guerre, il n'y a objectivement que rarement des gentils et des méchants, ces termes devenant officiels qu'une fois qu'un camp gagne pour marquer l'histoire et dans cette guerre, il y avait donc un milliardaire soviétique imbattable.Homme de l'ombre tout comme son propre père avant lui, Sover agissait avec discrétion, arrangeait des pans entiers de l'Histoire futurs avec son argent et ses plans. Cet homme s'intéressait particulièrement à un sujet qui faisait parler de lui de temps en temps depuis la moitié du vingtième siècle, le clonage. S'il ne pouvait pas trouver d'égal dans cette vie, pourquoi pas dans une autre? Des politiciens riches et pourris, cela avait toujours existé et le prestige scientifique si l'URSS parvenait à offrir des humains artificiels, "parfaits" selon Sover... Oh, ces idées allaient loin et les fonds arrivaient, illégaux à souhait, des scientifiques disparaissaient un peu partout dans le monde au profit de projets undergrounds démentiels où on comprenait que les complexes militaro-industriels y avaient tout à gagner, quelques plans de financement de projets fantômes de l'Armée Rouge alimentant les caisses.L'histoire de Sover Blansh se terminait de manière précoce cependant... 1991, une tentative d'assassinat sur le président du Praesidium du Soviet suprême remontait vers le milliardaire qui, après des dizaines d'année à rester invaincu, avait appris à ses némésis à être discrets. Cette impression que, soudainement, le monde se retournait contre soi... Tel un dieu païen face à un nouveau mode de pensée, ses idoles furent brûlées, ses "prêtres" exilés et en lui-même, Sover disparaissait tout bonnement, comme un mauvais souvenir, un Bogeyman.
Tao, the Void-Zero - Chapter I - Tao Blansh était, comme certains observateurs l'auraient à juste titre deviné, le fils de Sover. Né en septembre 1995, l'enfant était maladif, très intelligent mais faible physiquement, pas le genre de gaillard pour lequel les médecins ont des doutes, mis à part sur une proche plus ou moins proche évoquant la fin de son existence mais lorsque l'on avait un milliardaire russe prêt à tout perdre sur le moment et avec les moyens de provoquer des génocides sur un simple coup de tête (moyen de pression privilégié à l'époque par cet être qui ne voulait pas perdre son temps en négociation inutile qu'il était persuadé de gagner), on se taisait et on mettait tout en œuvre pour offrir quelques années, quelques jours, quelques heures en plus au nouveau-né. Dès sa naissance, son père le filmait, écrivait sur son développement ainsi que sur sa propre vie en suivant un concept d'informatique très simple : si un être vous ressemble en tout point, possède vos propres souvenirs, comme pouvez-vous dire qu'il ne s'agit pas de vous et juste d'une copie? Avec la science et la marge offerte par les soins intensifs sur le garçon, celui-ci deviendrait le réceptacle pour une nouvelle vie à Sover, toujours persuadé de traverser les âges grâce aux méthodes qui évoluaient -mais pas assez vite pour réaliser son souhait, vous devriez le savoir vue que nous sommes en 2022 et que les mégalos ne sont toujours pas immortels-.
Né sans mère et avec un père très absent du fait qu'il cherchait toujours des nouveaux moyens de progresser dans sa quête, Tao était mis sous la tutelle d'un professeur discret et sage dont la plupart des enseignements finissaient sur papier malgré les interdictions de ce dernier. L'enfant ne possédait pas l'arrogance de son père mais semblait programmé pour obéir à ses directives et quoi de plus logique? L'amour d'un père, cela n'a pas de valeur, on s'y accroche surtout quand il n'y a "que lui" et que depuis qu'on a ouvert les yeux, on se doit d'apprendre qu'il est une icone surpuissante que l'on ne peut vaincre, que l'on doit prier et croire, que le monde extérieur est hostile et pourri, qu'il est la seule solution envisageable... Endoctriné, le garçon avait reçu un nom évocateur, plus encore pour son tuteur qui lui enseignait sa philosophie de la Terre-Pure, une certaine forme du bouddhisme très prisé dans la Chine où il grandissait. Pourquoi évocateur? Tao était le précurseur de l'énergie universelle, une notion complexe qui dépassait le Bien, le Mal, toute forme de choses, Tao était la "voie" que son père avait choisi, une "explication" suffisante selon ce dernier.
Suivant la voie du Bouddhisme et de la Terre-Pure, le jeune homme apprenait que le monde allait être détruit par une entité sombre mais que la fatalité serait sa victoire : cette nouvelle Terre où il serait récompensé, tous les rêves de son père en faites. Animé par une compassion et une bonté de cœur insufflé par ses croyances bien qu'il n'y faisait pas attention, pas cartésien pour un sous, Tao apprenait aussi la voie du Chan, le "zen" chinois si vous préférez, afin d'être complet avec la méditation, étape nécessaire pour une reconstruction physique par le kung-fu shaolin, celui apprit dans les environs et popularisé depuis 1991 par les moines craignant que leur style soit mal copié par les étrangers.
Le shaolin quan était un art martial compliqué que Tao apprenait en priorité sur tout, son intellect supposé permettant de fuir les écoles traditionnelles avec l'aide de son tuteur. Avec l'art martial, l'enfant apprenait une partie des 708 techniques armées et à mains nues qu'il écrivait dans ses papiers, apprenant presque à utiliser la plume pour cette tâche exclusive, ainsi que l'ensemble des 156 exercices de respiration qigong -gymnastique chinoise de respiration, si vous en avez marre des termes "techniques"-.
- La meilleure manière d'apprendre est d'enseigner.
Les ordres sont les ordres. C'est à l'âge de 16 ans que le petit quittait sa routine quotidienne, relisait ses textes et les corriger avec ces connaissances encore fraiches dans sa tête lors d'un travail qui durait l'équivalent d'une année scolaire.
Sa nouvelle tâche? Apprendre à un certain Mart ce qu'il avait apprit car ce dernier montrait un grand potentiel en tout, un peu comme ce père qu'il avait en commun... Sover avait eu un enfant biologique avec une certaine Langgou, une chinoise, une petite aristocrate avec laquelle il avait eu un partenariat pour financer divers industries du pays. Avec un esprit éclairé, elle l'avait séduit pendant deux ans de vie commune avant que le Bogeyman ne reparte dans ses délires, laissant l'enfant à sa mère pour ensuite le reprendre lorsque ce dernier était âgé de 12 ans. Ainsi, notre petit Tao n'était plus seul, il avait son "petit frère" pour lequel il allait prendre un rôle davantage paternel.
Une nouvelle question dans son esprit : pourquoi son père avait-il eu un fils? Etait-ce une sorte de cadeau pour le surdoué ou bien était-ce là un message bien plus sombre alors que sa santé s'était stabilisé et qu'il avait déjà bien évolué dans les domaines qu'on lui demandait? Avec les hormones et les impulsions offertes par celle-ci, Tao trouvait son cadet presque parfait, un cerveau brillant et des capacités physiques qui surclassaient largement les siennes. Le petit n'était pas Sover, peut-être était-il encore meilleur...? (à suivre, on s'amuse bien) Qui se cache derrière l'écran ? Prénom/pseudo : Jinkan Age : 21 ans Où as tu trouvé le forum ? Un ami qui n'y est pas (encore) inscrit Comment le trouves-tu ? Bien construit, pas trop permissif, pas trop contraignant. Un dernier mot ? Pour la "série de chiffres" après la lettre, rassurez-moi, j'en ai pas trop mis ou pas assez mis? Parce que j'aime bien ce nombre moi... crédit (c) Chaussette
Dernière édition par M-108 le Jeu 14 Jan - 20:47, édité 12 fois |
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