| | Ôta Yuzu Civils
| Messages : 377 Age du perso : 26 ans
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| Sujet: Yuzu - Non, je suis pas une fille... Mate ces pecs, mec ! Dim 28 Juin - 11:58 | |
| Ôta Yuzu Bonjour, je m'appelle Ôta Yuzu, mais on me surnomme aussi Aniki ou Yu-kun. J'ai actuellement 26 ans, car je suis né le 28 août 1995 à Tokyo et je suis Japonais. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas en train de réclamer de l’argent ou tabasser des crétins, je suis un Yakuza et tenancier d'un salon de massage un peu particulier... *wink wink* Si vous voulez tout savoir je suis normalement aisé mais pauvre en raison de mes dépenses et vu que je n'ai aucun secret pour vous, vous pouvez aussi savoir que je suis hétérosexuel évidemment ! Mon admiration pour les torses masculins n'est que démonstration de ma virilité, c'est évident. Je suis d’ailleurs célibataire ! On me dit souvent que je ressemble à Dandy. Je suis dans le groupe des Civils. Comment peut-on me reconnaître ? Caractère Yuzu est… particulier. Et incroyablement facile à saisir. Il porte de grandes valeurs. A commencer par celles des Yakuza : tu n’offenseras pas les bons citoyens, tu ne voleras pas la femme de ton voisin, tu ne te drogueras pas, tu n’as pas le droit de tuer quelqu’un ne faisant pas parti de la pègre, ... Fort heureusement, il n’a jamais tué personne, malgré ses nombreuses batailles. Il aurait bien du mal à s’y résoudre, quand bien même il le ferait, avec regrets, si cela lui était ordonné par son supérieur. Le jeune homme est, malgré lui, un justicier. Mais pas un justicier comme les Tokusatsu qu’il déteste et ne comprends pas : non, il fait sa justice, celle en laquelle il croit. Avec ses poings et ses muscles, comme un homme, un vrai ! Défendre les citoyens, les pauvres, les orphelins et les innocents. Voilà ce qu’il fait, voilà ce en quoi il croit plus que tout. Même le plus bas des hommes mérite de vivre : tout le monde n’a pas sa chance pour être intégré en société. Lui-même ne l’est absolument pas. En revanche, défendre son prochain contre les injustices ne le rend pas chevalier pour autant. Yakuza dans un clan réalisant de la prostitution illégale sous couvert d’un réseau d’un salon de massage qu’il dirige, il n’est pas blanc comme neige et ne le prétend pas. Le trafic de drogues et d’armes, l’industrie du sexe ou l’arnaque immobilière des Yamaguchi-gumi ne le dérange pas plus que ça par ailleurs ; le bonheur des uns fait le malheur des autres, comme on dit. Il n'y a ni gagnant ni perdant, juste quelqu'un qui a plus d'argent ou plus de pouvoir qu'un autre. Il répare les injustices qu’il voit, pas celles qu’il connaît ; sinon, il aurait dû être un de ces pourris de politicien, ou se lancer dans une association humanitaire relou. Non, Yuzu ne croit qu’en une chose : l’être humain. Et l’Homme possède de nombreuses zones d’ombre qu’il accepte totalement. Il respecte cependant grandement les femmes qui travaillent dans son salon et prend leur défense des pervers qui demandent service sans payer. Violent, sans être réellement agressif, Yuzu est du genre à grogner, montrer les dents. Il ne se laissera pas faire, et prendra rapidement la mouche. Il vous attrapera le col avant même de vous poser une question. Mais il vous la posera avant de vous frapper, car il ne peut se résoudre à faire de mal à un innocent. Le garçon a le sang chaud, ça c’est sûr ; et même s’il fait au mieux pour réfléchir avant d’agir, il est quelque peu… Limité. Il n’a rien d’un intellect et n’a que très peu de culture. Réfléchir, ok, mais pas trop. Il ne sait qu’utiliser son bon sens et suivre son instinct. Pour cette raison, il restera certainement toute sa vie un Kyôdai et ne cherchera pas à gravir davantage les échelons, même s’il le pouvait grâce à ses affaires : il est persuadé qu'il n’est pas fait pour diriger plus qu’une bande de paumés. Bien qu’il paraisse étrange et soit violent, il n’en reste pas moins quelqu’un de fiable. Loyal, fidèle, il possède un grand cœur qu’il tentera de cacher pour ne pas se ridiculiser. Les apparences sont une de ses plus grandes peurs. Pour lui, toute son autorité passe par son style, ses muscles et sa force. Pourtant, il possède un certain charisme qui arrive à rallier à sa cause ceux qui sont ou ont été comme lui. On lui fait facilement confiance et il le rend bien : s’il peut être méfiant et pour cause, une fois acquise, cette dernière est infaillible. Il est doublé d’un bon commercial, si ce n’est qu’il part vite dans les gonds lorsqu’on se moque de lui ou de ses employés. Physique Grand, beau garçon. Effrayant aussi un peu. Yuzu n’est pas du genre rassurant, pourtant il interpelle. Un mètre quatre-vingt deux de haut, de corpulence fine et musclée comme un vrai bonhomme sans être bodybuildée (ça, c’est un sur-homme), le jeune homme arbore un visage long et fin. Des petits yeux en amandes quasi dépourvus de cils, un air sévère, des sourcils naturellement fins et pointant sans cesse vers le bas, le front froncé et la bouche s’étirant vers le bas, fermée d’un côté, dévoilant des dents blanches de l’autre. Une bonne vieille brute qui n’inspire pas confiance. Pourtant, sa coiffure ne manque pas de faire rire : une belle banane, datant des années 80 ou 90, surplombe tout son corps de ses cheveux de jais et parfaitement bien entretenus. Pose de bonhomme, sa démarche est virile, lourde. Les jambes écartées, il avance nonchalamment d’un pas décidé, son sabre en bois sur l’épaule. Le vrai est chez lui bien au chaud, mais un petit poignard est attaché à sa ceinture, bien emmitouflé dans son étui. Au bout de ses longues jambes, des chaussures de sécurité. Ses jours de repos, il porte des jeans, parfois troués, et porte des maillots sans manche, laissant entrevoir quelques fois ses pectoraux saillants et ses bras, dont l'un tatoué. Sinon, c’est costume bon marché, pantalon et veste noire, cravate assortie et chemise blanche, toujours entrouverte au niveau du torse pour montrer ses muscles et quelques poils. Pendouille ici une plaque militaire où il y a gravé son nom et son prénom. Lorsqu’il est de service hors de son salon, il porte aussi des lunettes de soleil pour cacher son regard. Quelque chose te différencie ? Un énorme tatouage dans tout le dos jusqu’au bras droit, ayant demandé 6 mois de travail. Sur le bras repose des délicates fleurs japonaises, parsemées dans des motifs aquatiques. Ils sont coupés par une cicatrice assez large au niveau de l’épaule. Sur le dos est représenté Benzaiten, divinité bouddhiste japonaise et hindoue Sarasvatī du savoir et des arts, de l’éloquence et de l’élégance. Petite précision : les Yakuzas se tatouent l’exact opposé de leur personnalité... Tu veux connaître mon histoire ? La vie prend des tournants si facilement. Une rencontre, un événement, un coup de chance... Et parfois, simplement en suivant son court. En ne faisant rien. En prenant la décision logique que, peut être, il ne fallait pas prendre. Le plus important... c'est de ne pas avoir de regrets. Le jeune homme est né à Tokyo il y a 26 ans, deuxième d’une série de 3 frères. Sur les échographies, tout indiquait qu’il serait une fille. Il cachait sans cesse son sexe au point que tout le monde était persuadé qu’il n’en avait pas. Tout avait été préparé pour “Yuzu”, une petite fille. Il naquit cependant avec un pénis et par conséquent, un prénom féminin. Ses parents trouvaient ça amusant. Une famille moyennement pauvre mais vivant à son aise, prônant l'entraide et la famille. Tout petit déjà, il était le dur, la brute de l'école. Il aimait jouer avec un bâton, taper les binoclards, écraser des limaces ou chasser les chats avec les cailloux. Il se battait avec les petits garçons qui le traitaient de fille. En réalité, dans cette famille nombreuse et si aimante, Yuzu manquait cruellement d'affection. Même si c'était pour se faire disputer, l'espace d'un instant, il était sous les feux des projecteurs, rien que lui. Il était particulièrement détesté des filles, mais aussi des intellos. Ses parents se demandaient s'il ne manquait pas d'exercice, alors ils lui firent essayer quelques sports. Il se mit au Ju-jutsu le mardi et au Kendo le jeudi. Bien que cela lui faisait un bien fou, il restait un vrai dur. Cependant, comme il avait juré de ne pas utiliser ses cours pour faire du mal aux autres, il n'utilisait jamais une prise ou son baton de bambou pour frapper les gamins de son âge. Juste ses poings. Bien qu'il fit moins de bêtises chez les voisins, le problème n'était toujours pas résolu à l'école. Un jour, lorsqu'il appris que son petit frère s'était fait tabasser par les grands parce qu'il était premier de la classe, Yuzu rentra dans une rage folle. Mains nues, il se rendit vers la bande de mioches qui avaient 4 ans de plus que lui. C'était lors de sa septième année, et ce jour là, il avait appris un mot important : injustice. Il rentra chez lui roué de coups, et ses adversaires ne l'étaient pas moins. Un énorme sourire aux lèvres, il tendit son bras vers son frère et leva son pouce. "J'ai gagné." Il était bien une brute, après tout. Pourtant, défendre les faibles par la violence n'était pas la meilleure option. Cela n'améliorait d'ailleurs pas ses notes. Tous ses frères s'en sortaient, deux d'entre eux étaient plus studieux encore, promis à de belles études. Yuzu, lui, n'était qu'un délinquant. Le voilà à 14 ans, les cheveux délavés avec son gang d'abrutis, foulard sur la moitié du visage, épée en bois sur l'épaule. Sur le bout de tissu cachant le bas de sa tête était marqué “alcool”. Il avait bu sa première bière l’année d’avant, dans les distributeurs de boisson de la gare. Depuis, c’était devenu une habitude, avec ses potes. Le jeune homme avait arrêté le Kendo 3 ans de cela pour pouvoir être plus présent avec son gang, mais continuait à prendre ses cours de Ju-Jitsu, malgré de nombreux affrontements verbaux avec ses professeurs dû à son attitude en dehors du club. Souvent en confrontation avec d'autres groupes de délinquants, son apprentissage et ses prises commençait à lui servir. Il était réputé pour sa force et son agilité. Il était de la racaille. La honte de la famille. Ils savaient bien que Yuzu n'avait pas un mauvais fond, mais comment faire pour gérer un enfant au delà du turbulent ? Ses parents étaient dépassés. Alors ils suivirent les conseils de leurs amis : déménager, loin de sa bande d'amis, loin de ses habitudes. A ce moment là, le jeune garçon s'était lancé dans la mécanique pour son gang bosozoku. Il bidoullait une nouvelle moto, presque une carcasse. De ses deux mains, lui si inutile, lui si brute, réussissait à créer quelque chose. Il commençait à avoir des rêves, des espoirs. Peut être allait-il trouver sa place dans la société finalement ? Mécano était un nom qu'il aimait bien. Le 28 avril 2007, il dû laisser sa bécane en chantier pour partir avec ses parents. Il ne parla plus jamais de rêves. Il continua à bidouiller cependant. Il arrêta les cours d'arts martiaux et utilisa ses connaissances en la matière pour sauver les malheureux des brutes - des autres brutes comme lui. On rejetait parfois son aide. Pas un merci, juste un ordre d'arrêter. La violence n'était pas une solution. Yuzu n'arrêta pas pour autant ; il faisait sa justice comme bon lui semblait. Il n'y avait plus d'espoir. Ado déphasé, il se laissa porter par les événements et finit par rencontrer un Yakuza. Il était du gang Yamaguchi-gumi, et l'amadoua de paroles. Yuzu retrouva une bande de potes, associé à eux. Il retrouvait un rêve, mais pas celui que ses parents avaient espéré. Finalement, à 16 ans, il quitta le lycée et la maison familiale pour rejoindre les Yamaguchi-gumi. Pendant 6 mois, il fut mit à rude épreuve avant de pouvoir, enfin, avoir sa cérémonie d’entrée, la Sakazuki. Il échangea une coupe de sake avec son Oyabun, le grand chef de la famille. Il ne faisait pas le fier. Être face à un homme si important, si grand. Se faire accepter dans cette nouvelle famille un peu particulière, peu importe qui il était. C’était un nouveau départ. Suite à cela, il galéra quelques temps à faire ses preuves. Chaque nouvelle recrue doit trouver un travail et donner ses bénéfices à sa famille. Ce fut la partie la plus dure. Lui, le bon à rien, trouver quelque chose ? Il demanda conseil à ses aînés, avant de trouver un petit boulot de vente de voitures d’occasion. Étonnamment, il savait se rendre convaincant pour se faire employer et convaincre les potentiels acheteurs. Il économisa chaque pourboire et donna la moitié de son salaire à son clan. Pendant ce temps, il se lia d’amitié avec les membres de sa famille, dont quelques supérieurs qu’il traita naturellement avec beaucoup d’égards. Il découvrit une certaine patience, un calme intérieur qu’il ne se pensait pas capable d’avoir. Il ne cessa de rendre des petits services, discuter, boire pour créer des liens. Ce fut un travail de longue haleine, puisqu’il lui fallut 5 ans pour qu’un aîné lui fasse suffisamment confiance pour lui confier l’une de ses boutiques. Ce fut certainement l’une de ses meilleures décision, puisque Yuzu fit exploser ses bénéfices et monta donc en grade, devenant un Kyodai (“grand-frère”). Il s’agissait d’un petit salon de massage dans lequel des femmes donnaient quelques services plus particuliers pour quelques billets supplémentaires. Il n’y avait que deux femmes au départ, mais à force de travail, il réussit à en employer deux supplémentaires - consentantes bien sûr. Il prit également sous son aile la soeur d’un Shatei (“petit-frère”) qui travailla pour lui. Il n'y avait pas souvent du grabuge et heureusement, car cela fait mal tourner les affaires. Pourtant, un jour, Yuzu finit par tomber sur un gamin qui allait bouleverser son quotidien. Gamin, gamine ? Il n'avait pas trop su, au début. Ce qu'il voyait, c'est surtout qu'il était saoul. Et paumé. Ce genre de choses se sent, surtout quand on est un homme de la trempe de Yuzu. Il le menaça, le pris par le col, serra les poings, montra les dents, lâcha quelques répliques bien foutues. On ne faisait pas chier dans sa baraque. Il ne fallut pas longtemps pour que le coréen revienne mettre les pieds chez lui : pour d'autres raisons, cependant. Jae-Yeol, qu'il s'appelait. Pour une raison qui échappait à Yuzu, il avait décidé de le suivre partout, et semblait lui porter grande estime. Le jeune homme n'avait pas eu le coeur à le rejeter. Il connaissait ce désespoir, ce besoin d'avoir quelqu'un pour veiller sur soit quand on est juste un grand paumé. Il le prit un peu sous son aile, sans pour autant le gâter. Qu'il s'habille en fille, qu'il se prostitue, qu'il soit violent, peu lui importait, en réalité : il avait cette force de pouvoir accepter et aimer n'importe qui. Ce garçon était devenu son Otôto, sûrement pour combler le manque de son petit frère, il avait décidé d'en faire le sien. Il le protégerait et en ferait un homme. Son quotidien n'en est devenu que plus agité. Aujourd'hui encore il dirige son salon de massage dans lequel il fait des courbettes pour ramasser deux fois plus d'argent. Il prévoit de le racheter à son supérieur et même d'en ouvrir un deuxième dans quelques années. Yuzu est un personnage respecté par ses cadets mais aussi par ses aînés, réputé pour n'embêter personne mais devenir féroce lorsqu'on lui cherche des noises. Il ne sait pas trop si c'est ça, avoir une place dans la société. Mais enfin, depuis des années, il s'y plaît bien. Qui se cache derrière l'écran ? Prénom/pseudo : A SAVAGE OCTOPUS APPEARS. AGAIN. Age : 23… 24 ? Je sais plus. Où as tu trouvé le forum ? Dans mon historique. Comment le trouves-tu ? SO MUCH AWESOMENESS. Un dernier mot ? J’adore écrire en capslock.
Dernière édition par Ôta Yuzu le Ven 21 Aoû - 15:05, édité 7 fois |
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