| | Hurata Mayoko Civils
| Messages : 60 Age du perso : 21 ans
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| Sujet: Hurata "Maya" Mayoko Ven 27 Nov - 14:49 | |
| Hurata Mayoko Bonjour, je m'appelle Mayoko Hurata, mais on me surnomme aussi Maya. J'ai actuellement 21 ans, car je suis née le 17 juillet 2000 à Aomori et je suis Anglo-japonaise. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas en train de geeker, je suis violoniste. Si vous voulez tout savoir je suis plutôt à l'aise et vu que je n'ai aucun secret pour vous, vous pouvez aussi savoir que je n'ai pas vraiment d'orientation sexuelle définie et je suis donc célibataire. On me dit souvent que je ressemble à Miyazono Kaori Je suis dans le groupe des Civils.
comment peut-on me reconnaître ? Caractère Mayoko est une jeune femme énergique, joyeuse, toujours souriante, en bref, positive. Ceci dit, de part son éducation japonaise, elle est travailleuse et ne lâche pas l’affaire tant qu’elle n’est pas satisfaite du résultat. Il lui arrive donc souvent de plancher sur un problème pendant des heures, peu importe le moment de la journée, peu importe les douleurs physiques ou mentales que cela peu lui occasionner. Elle a appris à se dépasser et à ne pas s’écouter, pour donner le meilleur de ses capacités. Cette aspect de sa personnalité peu parfois être mal perçu par son entourage, ses amis notamment, se sentant délaissés par la jeune femme, à l’exception de ses collègues de travail, qui sont dans la même démarche qu’elle. En-dehors de ses longues séances d’entrainement et de révision, Mayoko se délasse souvent sur une partie de jeu vidéo, ou en parcourant les sites et les blogs sur les Tokusatsu. Sans être une véritable fangirl, elle a malgré tout ses favoris, ses p’tits chouchoux, qu’elle suit régulièrement, et avec qui elle communique parmi d’autres fans. Véritable geek invétérée, Mayoko joue aux derniers jeux vidéos sortis, mais également des plus anciens, nostalgique d’une époque révolue. Sur scène, Maya n’est plus la même. Elle semble comme transportée dans un autre monde, et oublie tout ce qui se passe autour, son esprit emporté par la musique. Son violon fait parti d’elle, au même titre qu’un bras ou un poumon. Il n’est pas un jour qui passe sans qu’elle joue de son instrument, même quelques minutes (ce qui se révèle souvent plusieurs heures en réalité), et l’emmène partout avec elle, quelque soit la durée de son trajet. En ce qui concerne sa vie personnelle et ses habitudes, Mayoko est végétarienne. Non par réelle conviction, mais surtout parce qu’elle ne digère pas bien les protéines animales, à son grand damne d’ailleurs, car elle adore la viande et particulièrement la charcuterie. C’est un réel problème pour elle car cela l’éloigne un peu plus de ses origines européennes et de sa mère par extension. Mayoko n’a jamais réellement été attirée par personne et ne se pose pas la question de savoir si elle est hétéro ou homosexuelle, ou même bi, cela ne l’intéresse pas. Elle est trop concentrée sur ses études et ses concerts. Elle ne remarque même pas les regards éventuels de garçons ou de filles qu’elle croise dans son quotidien. Physique Mayoko mesure environ 1,63m et pèse à peine 50kg. Elle est donc très menue et de taille moyenne. Pour ce côté-là elle ressemble beaucoup à sa mère, anglaise. De sa mère elle a également ses très longs cheveux blonds, assez épais qu’elle laisse libres le plus souvent, et ses grands yeux bleus. Difficile à voir ses origines japonaises quand on la voit en réalité, car elle tient bien peu de son père, si ce n’est la rigueur de son éducation. Etudiante dans une grande école qui forme les futurs solistes du pays, Maya est souvent vêtue de son uniforme scolaire, comme lorsqu’elle était au lycée, désireuse de toujours restée dans une optique de travail. Cependant, sur scène, elle porte une robe blanche lui tombant à mi-mollet, cintrée à la taille, avec de légères bretelles. Elle ne porte aucun bijou, ni bague, ni bracelet, ni collier et se maquille très peu, exceptée pour les représentations ou les auditions et les concours. Il est évidemment entendu qu’elle n’a ni tatouage ni piercing, car son père en ferait une syncope ! Pourtant l’idée d’un tatouage, discret, n’est pas sans lui déplaire. Très énergique, tenant rarement en place sans bouger, Mayoko passe pour une hyperactive alors qu’il n’en est rien. Habituée depuis toujours à se donner à fond dans tout ce qu’elle fait, elle sait puise au fond d’elle l’énergie et la motivation nécessaires à ses activités. Cependant quand elle s’allonge et s’endort, un tremblement de terre ne la réveillerait pas, et elle ronfle comme un bûcheron ! Quelque chose te différencie ? Mayoko a une soeur jumelle avec qui elle n'a pas grandit, qui est restée en Angleterre avec sa mère. Elles n'ont aucun contact depuis leur séparation et Maya préfère faire comme si elle était fille unique, pour éviter de laisser de sombres pensées l'envahir et d'en vouloir à ses parents. Tu veux connaître mon histoire ? La salle était plongée dans le noir, le lourd rideau bordeaux baissé. La seule chose qu’elle percevait était le battement de son cœur qui martelait sa poitrine. Pourtant, de l’autre côté du rideau, on chuchotait, on toussait discrètement, on se tordait sur son fauteuil de velours, on préparait les appareils photo, les mobiles et les caméras. Lentement, une lente mélopée au clavecin, accompagné de quelques violons et d’un violoncelle, se fit entendre. Une lueur apparut au-dessus de la jeune femme et le rideau se leva. Dans le même temps, elle monta le violon sur son épaule et le cala sous son menton, et levant la main droite, elle posa délicatement l’archet sur les cordes et entama la douce mélodie, accompagnée du petit ensemble. C’était un célèbre canon, de Pachelbel, un morceau baroque qu’elle affectionnait particulièrement, pour son calme, sa douceur et sa difficulté. Non par le côté technique, car les notes était faciles à placer. La difficulté venait de l’interprétation, pour rendre justice à la légèreté des notes et de la mélodie, sans pour autant passer pour une débutante à qui on aurait confié la lourde tâche d’exécuter un concerto. Elle avait passé des heures et des heures, durant les derniers mois à retravailler ce canon, y passant une majeure partie de ses journées et parfois des nuits entières, pour atteindre la perfection dans l’interprétation de ce morceau, en vue de ce jour si important. Les projecteurs, lentement, se mirent à éclairer l’ensemble des musiciens et la musique prit son envole, émerveillant les oreilles de l’auditoire. Maya souriait en accord avec la mélodie, prenant plaisir à faire courir ses doigts sur le manche, à frotter délicatement les cordes de son violon. Elle se balançait discrètement au rythme de la musique et des mouvements de son archet, de sa respiration, et sa robe immaculée voletait en rythme, amenant une touche de clarté dans l’ensemble en costume noir, comme l’exigeait la coutume. En tant que soliste, elle était seule libre de revêtir la couleur et l’habit de son choix, et c’était cette robe qui avait toujours eu sa préférence depuis qu’elle montait sur scène. Ainsi on la reconnaissait. La jeune femme était là où elle devait être, sur scène, devant son public, son instrument sur l’épaule. Ainsi avait toujours été son rêve, depuis sa plus tendre enfance, depuis qu’elle avait vu sa mère et son père sur les planches de Londres. En effet, si Mayoko est née à Aomori au Japon, elle a vécu les premières années de sa vie en Angleterre, le pays maternel en compagnie d’une sœur jumelle. Sa mère, Eilena, était une violoniste de renom en Europe à cette époque, et pour les besoins de son métier, elle avait dû retourner en Angleterre. Son époux, Marc, un jeune homme d’origine japonaise, n’hésita pas une seconde à suivre Eilena pour rester auprès d’elle et de leurs filles, mais aussi pour se perfectionner auprès des plus grands pianistes européens. Marc n’a jamais souhaité être soliste devant un public rassemblé venu pour l’écouter. Timide et homme de l’ombre, son ambition à lui était d’accompagner les solistes, mais sans négliger un niveau de perfection extrême. Elevé selon la tradition japonaise, il n’y avait que son prénom qui dénotait. Il tenait absolument à ce que Mayoko et sa sœur soient les meilleures en tout. Elles marchèrent très tôt, parlèrent pratiquement dans la foulée, et commencèrent à s’exercer à un instrument bien avant de savoir lire et écrire. Puis un jour, Mayoko n’avait pas cinq ans, ses parents divorcèrent. La raison exacte lui échappa toujours et le plus dur pour elle fut la séparation d’avec sa mère et sa sœur. En effet, après de violentes et récurrentes disputent entre leurs parents, Marc retourna au Japon, s’installant à Tokyo, emmenant Mayoko avec lui, et laissa à Londres Eilena et son autre fille. Mayoko se montra inconsolable pendant de longs mois et Marc devint de plus en plus dur envers elle, refusant de répondre à ses caprices et la forçant à s’exercer au violon pendant de longues périodes pour lui faire oublier son chagrin. Ce nouveau mode d’éducation aurait pu dégoûter la fillette, qui devint rapidement une jolie jeune fille, puis une jeune femme épanouie. Au contraire, cela l’aida à ne pas sombrer dans la déprime et lui offrit un but dans la vie. Il lui fallut presque un an pour prendre ses marques, pour apprendre le japonais, pour se faire à l’absence de sa mère et finalement, sembla même oublier l’existence de sa sœur, dont personne ne parlait plus à la maison. Mayoko alla à l’école comme les autres enfants, puis au lycée et enfin entra à l’âge de 17 ans à l’université, dans une section spécialement dédiée aux arts et métiers, option musique, avec une année d’avance. Elle y apprend depuis à devenir soliste, se préparant à son futur métier, celui qu’elle a toujours envisagé. Il y a quelques années déjà que Mayoko est pour le public, « Maya », et qu’elle ravit les oreilles avec de douces mélodies, parfois classiques, parfois celtiques, parfois même populaires voire traditionnelles, dans différents concerts ou auditions, au sein de l’université, du conservatoire où elle a fait ses études musicales depuis l’âge de cinq ans, parfois même dans des fêtes foraines, ou des parc d’attractions, voire des manifestations ou des festivals. Petit à petit elle se taille une renommée et on la reconnaît même parfois dans la rue, quand elle est simplement vêtue de ses habits de tous les jours. Elle se sent gênée par rapport à cette renommée qu’elle a pourtant recherchée, mais n’a jamais souffert de paparazzi ou de fans un peu trop entreprenants. Dans le milieu de la musique, particulièrement, les mélomanes savent se tenir ! Mais la musique n’est pas la seule chose qui prend du temps dans la vie de Mayoko. En effet, depuis une dizaine d’années, la jeune fille a découvert les jeux vidéo. Son père n’était pas au courant bien évidemment, sinon il lui aurait interdit d’y jouer. Mais souvent le soir en rentrant de l’école, après ses longues heures de répétition de violon, elle se cale dans son lit, quelques oreillers dans le dos, emmitouflée dans sa couette, plongée dans le noir, et elle joue pendant encore plusieurs heures à la playstation. Il lui arrive également, le weekend surtout, de jouer sur le pc, ou de parcourir les blogs et sites consacrés au Tokusatsu, ses justiciers en armures biotiques qui luttent contre les forces du Mal. Peut-être a-t-elle le secret espoir qu’un jour elle fasse aussi partie de cette élite qu’elle envie tant. Alors elle joue aussi pour eux, pour les victimes des attaques, pour les justiciers qui se blessent ou perdent la vie, disparaissent sans laisser de trace. Qui sait, peut-être a-t-elle dans son entourage, parmi ses amis, des justiciers anonymes, sans qu’elle ne les soupçonne ? Qui se cache derrière l'écran ? Prénom/pseudo : Rebel'z, et oui je suis de retour Age : 30 ans aujourd'hui ! Où as tu trouvé le forum ? Je le connais depuis un moment, par Sado ^^ Comment le trouves-tu ? Je le redis je n'étais pas emballée au début, mais j'y trouve mon compte au final et pis y'a mes potos, alors je reviens parce que vous me manquiez <3 Un dernier mot ? C'est mon dernier mot Jean-Pierre ! crédit (c) Chaussette
Dernière édition par Hurata Mayoko le Lun 7 Déc - 9:48, édité 6 fois |
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