Dans la chaleur de la nuit Le mal est toujours puni
Les "Unités Kojiki", sortes d'armures intégrales de combat dotées d'une intelligence propre bien qu'instinctive, ont été découvertes alors qu'elles avaient été perdues par l'entreprise pharmaceutique qui les a créé, la Yomotsu Corporation. Cette dernière dépécha de nombreux agents dans l'espoir de les retrouver mais leurs nouveaux porteurs, se surnommant les "Tokusatsu", étaient devenus des justiciers masqués protégeant la ville de la menace Kaijin, des créatures monstrueuses aussi bien nées des malversations génétiques hasardeuses de la Yomotsu qu'à une singularité de la ville : l'énergie Fuzen.
Sujet: moka-chan ▌BREUM dans ta gueule desu ! Sam 2 Jan - 22:05
Mitani Moka
Bonjour, je m'appelle Moka, mais on me surnomme aussi "Mamono" ("esprit maléfique") car je suis la porteuse de la Vampire Unit Kyuketsuki 39. J'ai actuellement 25 ans, car je suis née le 15/08/1996 à Tokyo et je suis japonaise. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas en train de faire du sport pour me maintenir, je suis boxeuse professionnelle en lice pour le K-1 Grand Prix et je fais du Kick-boxing (enfin, du shoot-boxing plutôt). Si vous voulez tout savoir je suis de la classe moyenne et vu que je n'ai aucun secret pour vous, vous pouvez aussi savoir que je suis bisexuelle et je suis pour la non-exclusivité relationnelle. On me dit souvent que je ressemble à Moon Young Lee de Girls of the wild's. Je suis dans le groupe des Tokusatsu, côté Zokushin.
Comment peut-on me reconnaître ?
Caractère Une volonté inflexible, une moralité au service de ses actions, une abnégation dans le travail sont les ingrédients de la réussite de Moka mais la plupart du temps, les gens ne savent pas trop comment prendre la jeune femme tant elle sait se montrer à la fois le jour et la nuit. Particulièrement active physiquement et débordante d'énergie et de volonté, il lui arrive pourtant de se montrer immobile et flegmatique au besoin. Mais cela ne l'empêche pas pour autant d'avancer, d'aller droit au but, détruisant tout sur son passage s'il le faut; c'est un peu un éléphant dans un magasin de porcelaine. Elle est capable de tout donner pour une cause mais se montre la plupart du temps comme quelqu'un de borné et loin d'être extraverti : elle choisi ce qu'elle veut bien montrer. En effet très calculée, dominée, l'émotivité de Moka ressort au gré de ses besoins, pour s'humaniser : elle refuse de laisser paraître ses sentiments, ce qu'elle considère comme une prise pour ses ennemis... et elle a besoin d'ennemis, puisqu'elle aime s'opposer. Il est difficile d'être son ami car sa philosophie c'est que son seul ami c'est elle-même, car l'amitié suppose une dépendance, ce qu'elle refuse.
La jeune femme n'est pas sensible à l'échec car l'échec n'existe que si on l'accepte. Elle a besoin d'avoir un but précis dans sa vie pour avancer que ce soit sur le plan matériel, professionnel ou émotionnel. Même si elle se trompe, Moka préférera continuer plutôt que reculer et admettre qu'elle a tort, et refuse la faiblesse aussi bien celle des autres que la sienne. Quand on vous disait qu'elle était butée... persévérer dans ses erreurs est sa spécialité, plutôt que d'accepter de faire marche arrière. C'est une sorte de force de la nature mais qui est incapable de se stopper en marche ou de passer sans faire des dégâts. Sa vision du monde est entachée d’égoïsme patentée, une sorte de "moi et les autres" qui est devenu un véritable leitmotiv pour elle. Moka est plutôt subjective et très centrée sur sa personne, et sa confiance en elle est totale, ne se définissant que par l'action; c'est en effet une femme d'action qui réfléchi en général vite et dans le feu du moment, détestant se fier à autre chose qu'à la réflexion la plus pragmatique. Certains la trouvent un peu "basse de plafond" et terre-à-terre mais ceux-là, Moka les ignore. Elle se se passe très bien de son intuition au profit de son intelligence et de sa soif d'action. Son intelligence est donc pragmatique à l'extrême, distinguant les grandes lignes et les détails des situations. Elle ne frappe pas forcément aux yeux, puisque Moka ne cherche pas à briller et n'est pas toujours communicative. Sa séduction quant à elle est tranchante, du genre « ça passe ou ça casse » rarement délicat ou travaillé. Elle veut quelque chose de franc, de direct, de sincère.
Moka fait preuve de retenue dans la démonstration de ses sentiments, pourtant elle a une réelle sensibilité intérieure mais ne veut livrer d'elle que ce qu'elle a décidé. A tout vouloir contrôler, la boxeuse est parfois dans un immobilisme sentimental, souvent déconcertant et qui complique ses rapports avec les autres, principalement avec les femmes. Sa sociabilité dépend des circonstances et on sent bien que sur le principe, Moka n'aime pas forcément être entourée de personnes qu'elle juge inutiles, ennuyeuses ou trop éloignées de ses propres centres d'intérêts. Hyperactive, elle est dure à suivre et mène une vie terrible à sa santé; pourtant elle est très efficace dans l'action, et à l’inverse les discussions interminables la rendent chèvre. Elle a besoin d'action, de baston, de mouvement, sinon la boxeuse a l'impression de pourrir sur place. Sa volonté est écrasante et savoir lui résister n'est pas une chose facile, et cela a été le cas dès son plus jeune âge. C'est un véritable raz de marée qui submerge l'entourage de Moka, puisqu'elle se jette à corps perdu dans tout ce qu'elle entreprend... presque avec trop de passion. Ceux qui sont sortis avec elle disent souvent que le premier jour sa passion est fascinante, la semaine suivante étonnante, et le mois qui suit fatigante...
Le sens moral de Moka est très élevée, mais sa sensibilité est un peu différente de ce qu'on pourrait attendre d'elle. En effet la jeune femme refuse de se joindre au mouvement Tokusatsu et fait cavalier seul, usant de son armure pour ses propres motivations qui nuisent autant à la Yomotsu qu'aux Tokusatsu. Dans son rôle "Mamono" est un diable qui fait des problèmes aux deux camps tout en suivant une motivation commune : repousser les Kaijin. Mais Moka considère à tort ou à raison que les deux camps se valent; la Yomotsu est un ramassis de pourris et les Tokusatsu font mumuse et se la pètent un peu trop... ce ne sont que des excuses pour s'opposer à tout le monde et chercher des adversaires puissants auxquels s'opposer car c'est bien là la motivation première de Moka : se battre contre des ennemis puissants pour s'améliorer et s'émuler. Tout le monde lui va, du moment qu'ils sont forts. Si elle se mettait au service de quelqu'un, elle serait redoutable mais la jeune femme est bien trop indépendante et tête de mule; elle préfère frapper sur les délinquants, les Yakusa, les agresseurs et sauver les gens des menaces de tous les jours plus que s'en prendre aux Kaijin sur lesquels elle a un avis mitigé.
Vous l'aurez compris, Moka est une égoïste patentée qui n'est guidée que par ses désirs. Pourtant elle est droite et pleine de bon sens mais a décidé d’utiliser son armure au service de ses propres choix et ceux de personne d'autre. Peut-être que l'idée d'être contrôlée par quelqu'un lui fait peur... et pourtant... Le plaisir recherché dans une certaine forme de souffrance et d'échec est l'origine de sa conduite ambivalente avec les autres, avec un besoin irrépréhensible de s'opposer et d'être contrôlée et humiliée comme moteur pour se dépasser. Vous l'aurez compris, Moka souffre d'une personnalité masochiste et si ses motifs sont variés, c'est le besoin de quelque chose pour s'émuler qui est la raison de ce besoin. L'humiliation rend les victoires plus savoureuses, la douleur permet de rester humble et renforce le corps et l'esprit. Quant au contrôle... elle qui doit toujours tout maîtriser ne rêve que de passer les rênes à une personne de confiance et s'abandonner complètement. Vous aurez beau vous ingénier à la frapper, elle se relèvera toujours, autant que sa santé le lui permettra et chaque coup renforcera sa volonté et son plaisir de se battre.
Sachant ce qu'elle vaut et ne se voyant pas le moins du monde comme une "ratée", elle n'est pas masochiste sociale et elle ne souffre d'aucun complexe d'infériorité; le masochisme de Moka est d'ordre moral et érogène et elle est consciente de sa situation et la vit plutôt bien. Exutoire, décharge d'adrénaline, satisfaction sensuelle, prédiction autoréalisatrice ou source de motivation, les raisons sont multiples mais la jeune femme aime les choses compliquées, en plus des douloureuses : les relations houleuses, les prises de bec, les affrontements physiques comme verbaux. La vie ne vaut pas la peine si elle est tiède et ainsi si la boxeuse fait croire qu'elle est indépendante et déteste l'autorité, elle recherche en somme une forme d'oppression et de dépendance, une satisfaction sans la moindre responsabilité, presque inconsciemment. C'est pour cette raison, et son caractère conflictuel, qu'aucune de ses relations sentimentales n'a jamais marché.
Physique Moka est une boxeuse dite "Super welterweight", c'est-à-dire pesant moins de soixante-dix kilos. Sa condition physique est celle d'une athlète de haut niveau pratiquant plusieurs heures de sport par jour, en conséquence de quoi son corps est fuselé et sans être bodybuildé, la jeune femme étant très athlétique. Sa musculature est très développée aux endroits les plus usités par le kick-boxing, à savoir les épaules, les jambes et le dos. Elle mesure un mètre soixante-dix pour un poids de soixante-dix kilos, à la limite de passer Middleweight mais se surveillant. Elle est plutôt bien faite avec un physique harmonieux et féminin, un ventre dur, de hanches larges et des épaules bien découplées. Le teint mat, la jeune femme a le sourcil fourni et le visage très anguleux, où trône une très large bouche aux lèvres épaisses, lui donnant un drôle de sourire et un nez long, un peu en trompette, qui n'a jamais été cassé. Elle est relativement uniformément musclée bien que son dos soit plus marqué que les autres parties de son corps, extrêmement tonique et puissant. Ses yeux sombres sont très expressifs, en amandes, frangés de cils épais et ses cheveux sont un joyeux bordel dont la jeune femme a abandonné l'entretien, préférant simplement les laisser pousser et les attacher. Pourtant quand elle les détache son visage perd son côté sévère et elle gagne beaucoup en féminité avec une épaisse masse de cheveux ondulés du fait qu'elle les attache tout le temps.
La coquetterie est le cadet de ses soucis, préférant les tenues pratiques et confortables : vous la verrez la plupart du temps tout simplement en jogging et en baskets. Ses préférences vont aux couleurs chaudes et voyantes, au rouge, à l'orange. Propre et fonctionnelle, elle ne se maquille jamais et abhorre les choses trop "kawaii" qui lui semble trop enfantines; c'est une "adulte responsable" (pas tant que ça) avec des goûts d'adulte responsable. Pas de bijoux non plus, et encore moins de piercings ou de tatouages; elle vous dirait qu'elle mène une vie saine et sans écart, même si elle se prive parce qu'elle adore manger en réalité. Pourtant Moka n'a pas le choix car pour se maintenir dans sa catégorie de poids, elle se doit de suivre des régimes très stricts, en conséquence de quoi son physique est toujours parfaitement maîtrisé. La boxeuse a son lot de cicatrices, de plaies et de bosses régulières mais ne s'en est jamais formalisé : ce sont les aléas du métier qu'elle aime et... elle les aime aussi, sinon plus...
Quelque chose te différencie ? Rien de vraiment spécial, en fait. Une démarche très légèrement bossue à cause de la pratique de la boxe, un physique athlétique. Quant à son Magatama, il se trouve dans le bas de son dos, suivant sa chute de reins.
Tu veux connaître mon histoire ?
It's the eye of the tiger, It's the thrill of the fight rising up to the challenge of our rival and the last known survivor stalks his prey in the night and he's watching us all with the eye of the tiger. Face to face, out in the heat, hanging tough, staying hungry they stack the odds still we take to the street for the kill with the skill to survive.
Moka est l'unique fille du défunt boxeur poids lourd Uchiyama Ryo. C'est sous son influence qu'elle a commencé à s'intéresser très jeune au monde de la boxe et sa mort tragique au sortir du ring l'a marqué toute sa vie. Si passer le cap de la dépression fut dur, la petite fille décida rapidement de marcher dans les pas de son père et de réaliser le rêve qu'il avait : devenir champion du Japon. Se fixer un tel objectif si jeune lui permit de tenir le coup et de faire son deuil, contre l'avis de sa mère qui avait simplement peur que sa fille finisse comme son ex-mari, sur un brancard puis dans un cercueil. Sa mère s'était en effet remarier et Moka essayait de passer le moins de temps possible à la maison, préférant dans un premier temps le club de boxe de son lycée puis les salles de sport, mettant à profit son hyperactivité pour s’entraîner durement. Sa famille la voyant s’entraîner aussi durement et avec tant de discipline comprit que c'était le moyen de la guérir de son hyperactivité et laissa faire; ce fut le début de l'ascension de Mitani Moka.
Chaque coup reçu lui donnait le sourire, chaque chute lui donnait encore plus envie de se relever. L’adolescente n'abandonna jamais, mettant sa passion pour la boxe en premier dans sa vie bien avant les amis ou les garçons. Elle aimait tester ses limites, s'améliorer chaque jour, voir ses coups de poings prendre de la force, jour après jour, ses coups de pieds prendre de la technique. A seize ans, elle se classa seconde du championnat régionale et fut repérée par un manager qui l'accompagna dans ses débuts en pro, rejoignant la très connue ligue K-1. Sa vie semblait suivre le chemin qu'elle s'était fixé, sans heurt autre que sa vie sentimentale désastreuse. Ce n'était pas qu'elle n'avait pas le temps, ou l'envie; c'était qu'elle aimait ces choses compliquées, ces histoires d'amour à la fois sulfureuses et prises de tête. La vie ne valait pas la peine si elle était vécue tiède, l'amour était du même acabit. A quoi bon ? Seule la complexité animait les yeux de Moka. Seule la difficulté la faisait vivre, et l'adversité vibrer. Rendre coups pour coups, toujours rester debout; toujours s'opposer aux autres. Se battre, encore et toujours. Les rapports de Moka n'étaient pas très sains, cherchant un défouloir au stress de la compétition et des rudes entraînements.
Il n'y avait à vrai dire personne dans sa vie : pas d'amis, pas vraiment d'amours stables. Sa famille, hormis le souvenir de son père, la laissait un peu de marbre et elle s'était tant dédié à sa carrière que tout le reste était resté avorté, comme entre parenthèses. Elle fit la connaissance d'hommes, parfois de femmes mais préférait garder sa sexualité secrète comme elle était connue; bon nombre de sportifs ont eu des soucis durant leur carrière après un coming-out. Mais les journalistes sportifs seraient peut-être plus intéressés par d'autres rendez-vous, plus inavouables encore chez une personne experte en shibari, l'art du bondage japonais. Ces "consultations", la boxeuse fait son possible pour les garder secrètes mais elles lui sont devenues nécessaires pour relâcher son stress et petit à petit, la jeune femme devint une habituée du milieu BDSM de la capitale, veillant bien à ses relations internes pour ne pas entacher sa réputation.
En déplacement à Okuse pour y rencontrer son nouvel entraîneur, la jeune femme avait été abordé par un homme d'âge mûr qui s’appelait Sado Genjirô, essayant de l'enrôler dans quelques délires. Ce fut à ce moment qu'on lui parla des unités Kojiki, des Tokusatsu, de la vérité sur la Yomotsu et les Kaijin; Moka se sentit l'âme d'un justicier, mais pas d'un de ceux qui suivent les ordres d'un supérieur un peu louche. L'âme d'un chevalier solitaire. Elle savait bien que cela pourrait ralentir son entrainement, mais après tout... l'idée d'affronter des adversaires surhumains, des Kaijin, des Tokusatsu, l’excita invariablement. Alors Moka trompa la confiance de Genjirô et parti avec son module, Kyuketsuki, pour ne jamais remettre les pieds dans le bar qui servait de QG aux Tokusatsu; en échange de quoi, elle ne trahi jamais le secret de son emplacement ni même de l'identité de Genjirô; après tout, elle avait ses limites à la tromperie.
Ainsi commencèrent les apparitions de Mamono, un Tokusatsu ne désirant qu'affronter les autres, n'étant d'aucun autre côté que le sien. Celui qui combat les Kaijin, ennuie la Yomotsu et ne cherche qu'à affronter les autres Tokusatsu. Genjirô connait son identité mais comme Moka n'a rien dit sur le bar ni sur lui, le vieil homme garde le silence...
Qui se cache derrière l'écran ?
Prénom/pseudo : PapaBear. Age : 32 ans. Où as tu trouvé le forum ? =) Comment le trouves-tu ? =)². Un dernier mot ? Mot.
Dernière édition par Mitani Moka le Dim 7 Fév - 21:44, édité 15 fois
Yamakawa Nene Tokusatsu
Messages : 346 Age du perso : 28 ans.
Sujet: Re: moka-chan ▌BREUM dans ta gueule desu ! Dim 3 Jan - 22:42
autovalidation☆desu-desu !
Ô joie et bonheur, me voilà officiellement parmi nous ! On peut dire que maintenant je fais parti de la bande, alors je peux te la péter ! ♥
Cependant je n'oublie pas de faire recenser mon avatar et si je suis un Tokusatsu, de mettre mon armure et pseudo dans la liste pour que tout soit bien ordonné. Niveau journal de bord, je pense à faire ma fiche de relation qui comprend mes liens et ma liste de rps. Et si je cherche un ou plusieurs partenaires de jeu, je vais checker les demandes de rp ou en poster une ! Je n'oublie pas non plus de mettre le lien de ma fiche de prez' dans mon profil pour qu'on puisse la voir facilement !
Sinon, entre deux rps et recherches diverses je me propose de nous rejoindre à la cafétéria pour un max de flood et de délires !