| | Ashikaga Ryôko Tokusatsu
| Messages : 30 Age du perso : 28 ans
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| Sujet: Ashikaga Ryôko - Dancing Samurai Sam 20 Fév - 12:17 | |
| Ashikaga Ryôko Bonjour, je m'appelle Ryôko Ashikaga, mais on me surnomme aussi Okuninushi, parfois connue sous le nom Musashi en hommage à Miyamoto Musashi. J'ai actuellement 28ans, car je suis née le 15/03/1997 à Kyôto et je suis Japonaise. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas en train de l’Ikebana , je suis professeur de Kendo. Si vous voulez tout savoir je me débrouille assez bien financièrement et vu que je n'ai aucun secret pour vous, vous pouvez aussi savoir que je suis pansexuelle et célibataire. On me dit souvent que je ressemble à Kikyo de Inuyasha Je suis dans le groupe desTokusatsu (Eikeitsu).
comment peut-on me reconnaître ? Caractère Ryôko apparaît souvent comme quelqu’un d’assez distante au premier abord. On ne peut le nier. Souvent elle paraît dans son monde, en train de réfléchir à des choses qui n’ont manifestement rien à voir avec la situation présente, et ce même lorsqu’on lui parle. Et elle réfléchit ; beaucoup. Peut-être un peu trop pour son bien. Mais elle est ainsi ; toujours à tout analyser, tout juger. Ce qui l’entoure, ceux qui l’entourent, mais aussi elle-même et ses actions. En long, en large et en travers. Mentalement, elle analyse une action, les différentes conséquences que cela pourrait avoir ; il s’agit de ne rien laisser au hasard. Et son jugement se montre souvent sans appel. Mâcher ses mots ? C’est quelque chose qu’elle ne connaît pas. Ses critiques, y compris dirigées vers elle-même, peuvent être assez tranchantes, extrêmes. Elle ne se rend souvent pas compte que ses propos peuvent blesser. Généralement, il n’y a guère que pour ses plus jeunes élèves qu’elle fait quelques efforts. Il ne faudrait pas dégoûter des jeunes enfants de l’art du Kendo à cause d’une remarque malheureuse ou trop abrupte. Non, dans ces cas-là, elle expliquerait ce qu’ils font mal, mais en essayant aussi de mettre en avant les points positifs. Mais jamais elle ne se permettrait de proférer un jugement grossier, du genre “Tu es nul”. Rien de tel pour détruire l’estime de soi d’une personne, et ce n’est pas ce qu’elle recherche. Si elle se montre stricte et exigeante - et pas seulement pour le Kendo-, elle n’est pas non plus inhumaine. DU moins, tant qu’aucun mal n’est causé. Car la jeune femme est assez rancunière, elle n’oublie jamais un affront. Il est également assez rare de la voir élever la voix. Ses colères, elle essaie de les canaliser au mieux ; c’est là qu’elle ne peut que remercier ses longues années d’apprentissage de contrôle de soi.. Ce n’est pas elle qui va crier comme une hystérique, certainement pas ; mais elle la fera comprendre par des petites piques froides et implacables, et d’autant plus pernicieuses. C’est ainsi qu’elle crache son venin de vipère. La diplomatie ne fait hélas pas vraiment partie de ses qualités. Elle se montre, également, assez sarcastique, et elle manie l’ironie avec passion. Ca l’amuse, voyez-vous. Sa vision du monde reflète de plus un certain cynisme. Un peu blasé peut-être. Cependant, ça ne fait pas d’elle une mauvaise personne, elle a tout de même certaines qualités. Par exemple, sa capacité d’écoute. Elle se montre assez bon public, et essaiera toujours de venir en aide à la personne qui se confie à elle, en prenant le temps de l’écouter et de vider son sac. Ou son côté très protectrice, très maman ourse. On peut ensuite signaler son dévouement, ou ce qu’elle appelle son caractère entier. Une fois qu’elle a décidé quelque chose, elle s’y consacre entièrement. Par exemple, sa carrière de Tokusatsu. Elle a décidé qu’elle protégerait Okuse des attaques de Kaijin ; elle le fera jusqu’au bout. Peut-être est-ce simplement de l’obstination, autre de ses défauts. Mais elle se montre cependant assez réaliste pour savoir quand il faut jeter l’éponge, même si cela lui arrache la bouche de le reconnaître. Mieux vaut encore que sa fierté souffre un peu sur le moment que beaucoup plus par la suite - et pourtant, de la fierté, elle en a. Sûre d’elle et de ses capacités ? Très certainement. Mais pas arrogante. Ce qui ne l’empêche pas d’être une personne relativement agréable à fréquenter, quand on parvient à briser la glace : et peut-être même ira-t-elle même jusqu’à faire quelques plaisanteries de plus ou moins bon goût. Enfin, on peut ajouter qu’elle essaie de se comporter avec un certain code d’honneur. Elle a quelques principes auxquels elle tient énormément, et entre lesquels elle jongle. Elle abhorre le mensonge ; encore plus la trahison. Les coups dans le dos, ce n’est pas pour elle. Elle, elle affronte ses ennemis de face. Faisant preuve d’un certain courage...Mais pas de témérité. Sa vie, elle y tient raisonnablement. De la même façon, elle préfère très clairement dire quand quelque chose ne va pas plutôt que de laisser sa rancune grandir ; et entend qu’on agisse de même. Signalons aussi un certain tempérament artistique. En plus de ses activités sportives, elle pratique également l’art de l’ikebana. Elle a également une grande passion pour le thé, et il est très fréquent d’entendre de la musique chez elle. PhysiquePhysiquement, Ryôko ne se distingue pas particulièrement de ses compatriotes. Sa peau est très claire -mais malheureusement assez sensible, ce qui fait qu’il n’est pas rare de la croiser avec une ombrelle à la main pour se protéger du soleil-, ses yeux bridés sont sombres, d’une nuance un peu chocolat, et son opulente chevelure est d’un noir de jais. Par souci de pratique, il est rare de la croiser avec les cheveux détachés lorsqu’elle pratique son art ; ils sont en général noués à l’aide d’un ruban blanc. Les traits de son visage témoignent d’une certaine délicatesse ; ce qui fait dire à certains,qu’elle a un air de poupée. Ou de Yamato Nadeshiko. Mais si au premier abord elle apparaît comme assez impassible, il n’en est rien. Son visage est au contraire, assez expressif. Ses émotions sont assez faciles à lire, malheureusement pour elle. De plus, elle n’est pas non plus particulièrement grande, toisant exactement à un mètre soixante-deux pour à peu près cinquante-trois kilos. Pour maintenir sa ligne, elle fait régulièrement du jogging pour éviter les kilos en trop - malheureusement pour elle, elle fait partie de ces gens qui prennent rapidement du poids pour peu qu’elle mange bien, et elle est assez gourmande. Mise à part cela, on peut aussi noter quelques courbes féminines, une poitrine ronde et des hanches larges, parfois difficiles à voir sous toutes ses couches de vêtements, mais bien présentes . Sans être un canon de beauté, la jeune femme s’estime relativement satisfaite de son physique et s’assume complètement. D’un point de vue vestimentaire, il est plus fréquent de la voir en vêtements traditionnels. C’est le métier qui veut ça, répondrait-elle si on lui posait la question.En tant que professeur de Kendo, porter la tenue traditionnelle d’entraînement tombe sous le sens, c’est même un requis. Mais il n’y a pas que cela. Chez elle, elle porte souvent le kimono, ou en été le yukata. Ce qui ne l’empêche pas de porter quelques tenues occidentales de temps en temps ; par exemple lorsqu’elle sort, notamment pour faire ses courses. Mais elle s’y sent moins à l’aise, étrangement. Quelque chose te différencie ? Son matagama sur son côté droit, près des hanches. Tu veux connaître mon histoire ? Le début de la vie de Ryôko est assez banal. C’était une enfant calme, une enfant sage. Assez éveillée et mûre pour son âge. Peut-être un peu timide et silencieuse, si vraiment on devait lui reprocher quelque chose. Rien de bien grave, cependant. Ses parents étaient fiers d’elle, et accessoirement contents de ne pas avoir un de ces gamins épuisants qui demandent une attention constante. Elle lisait, elle jouait tranquillement, ne se faisait pas remarquer ; c’était parfait pour eux. Après un frère aîné un peu agité, c’était une bénédiction. Surtout qu’elle ne le suivait pas beaucoup dans ses bêtises. Un début de vie banal, vraiment ; peut-être est-ce pour ça que la découverte du Kendo lui fit si forte impression, lorsqu’elle avait sept ans. Elle se rappelle de ce jour, comme si c’était hier. Avec son père, ils regardaient vaguement la télévision lorsqu’ils tombèrent sur une chaîne qui retransmettait une compétition...et deux jours plus tard, son père la tenait par la main pour l’amener au dojo le plus proche. Pour voir. Un véritable coup de foudre… Même si ses premières années ne furent pas les plus passionnantes, avec raison, elle ne se découragea pas pour autant. Mieux encore, elle y avait trouvé plusieurs garçons de sa classe, avec lesquels elle se lia progressivement. Cela lui facilitait les choses à l’école, d’une certaine manière. Elle n’était pas bavarde, plutôt timide, et se faire des amis n’était pas chose aisée, comme elle n’osait pas aller vers les autres. Mais le Kendo l’avait aidée. De se dire “ Dans ma classe, il y a plusieurs personnes que je connais et j’apprécie, et qui m’apprécient aussi”, ça l’aidait à se sentir mieux. Plus intégrée dans sa classe, disons. Le temps passait, et Ryôko arriva au collège. Elle jonglait entre ses cours, l’entraînement quotidien au Kendo, et le club d’Ikebana du collège qu’elle avait rejoint par curiosité pour au final apprécier, et qui lui faisait comme un petit passe-temps. Elle faisait assez souvent de la compétition à l’époque, mais pas avec le club de Kendo de son collège, d’un niveau moins élevé. Pas assez pour elle qui gravissait rapidement les grades, avait dit son père qui s’y connaissait pour avoir longtemps pratiqué. C’était une période heureuse, d’intense complicité avec ses parents. Et puis elle découvrit ce qu’elle n’aurait pas dû savoir. Elle avait aperçu son père dans les rues de Kyôto, avec une autre femme et d’autres enfants. En soi, c’était louche, mais explicable raisonnablement. L’expression choquée et surprise de son père en la voyant, beaucoup moins. “Attends je peux tout t’expliquer”, avait-il dit en essayant de la rattraper. Sauf qu’il n’y avait rien à expliquer. Son père, son héros, se montrait tristement humain en trompant sa mère. C’était banal, c’était moche. Surtout qu’il n’avait pas le courage de quitter sa femme pour cette personne bien plus jeune qu’elle. C’était donc ça, la raison de ses fréquentes absences. Déplacements professionnels, tu parles...Au final, sa mère et elle partirent pour Okuse. Loin. De ce jour, elle changea assez brutalement. Il y avait cette colère sourde en elle, qui ne demandait qu’à s’exprimer. Et ainsi commencèrent les petites piques, qui se faisaient de plus en plus mauvaises et blessantes. IL y avait le stress du lycée, elle vivait une période difficile sentimentalement à cette époque, elle était en plein doute sur son orientation et la découverte de l’adultère de son père fut simplement la goutte qui faisait déborder le vase. Plus taciturne encore à cette époque, elle se rabattit sur ce qu’elle avait : le Kendo. En rejoignant le dojo d’Okuse, très réputé mais aussi assez cher, ce qui la décida à chercher des petits boulots. Et le lycée et plus tard l’université se passèrent sans grosse anicroche, période un peu agitée mais pas plus que la moyenne - et finalement, pour décrocher un travail de professeur dans le dojo où elle étudiait depuis des années déjà. Moitié chance, moitié malchance, car un des professeurs prenait sa retraite à cause de souci de santé.. En ralentissant néanmoins la compétition : l’enseignement prenait du temps après tout. Sa vie se poursuivait ainsi, presque sans histoire, excepté son mariage qui dura à peine un an, et pour d’excellentes raisons : le dit-époux étant trop jaloux et possessif. Mais elle avait réussi à trouver une place stable dans sa vie, dans laquelle elle s’épanouissait. Jusqu’à ce que ce qu’elle tombe sur cette drôle de mallette, un jour, devant son modeste appartement...devenant ainsi la porteuse d’Okuninushi. C’était il y a deux ans. Qui se cache derrière l'écran ? Prénom/pseudo : Anaiya Age : 23 ans Où as tu trouvé le forum ? DC Comment le trouves-tu ? Pourri de toute évidence, c’est pour ça que je poste cette fiche. Un dernier mot ? PONEY
Dernière édition par Ashikaga Ryôko le Dim 3 Avr - 21:28, édité 1 fois |
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